Voici l’objet, qui se fixe sur le rail du haut, avec son roulement pour l’axe Z :
Impression plutôt bien propre, y compris la première couche dessous :
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Bon, avec tout ça j’ai cru avoir laissé derrière moi tous les tracas avec l’Ender3, mais aujourd’hui tout à coup ils sont revenus en force avec une belle choucroute…
J’ai l’impression que le lancement du print à distance via Octoprint y est pour quelque chose, peut-être une version pas à jour ?
Jusqu’ici tous les essais ont été faits via la console, je testerai demain en passant par les menus et la carte SD, on verra bien…
Aujourd’hui ça s’est mieux passé : je pense que j’avais mal réglé le plateau, trop haut et trop près de la buse, la première couche n’adhérait pas…
Quelques coups de molette et c’est reparti, c’est sensible ces petites bêtes 
Le print du jour est ce guide pour passer proprement des câbles dans un angle :
Durée environ 1h30, intérieur du caisson à 33°C.
Dans la foulée, la bonne surprise de la nuit, un print de 6 heures et quelque, qui occupe une bonne partie du plateau :
Si j’arrive à tout décoller sans casse, ça devrait donner ça :
Un stand à fond blanc pour pouvoir photographier commodément des petites pièces imprimées en 3D : admirez la parfaite tautologie
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Un peu chaud quand même, le décollement des pièces
Donc avec mon PLA chocolat ça donne ceci :
Et utilisé avec le guide-câbles :
Ingénieux et pratique, ce système
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Petit gag du soir : en cherchant dans la liste des fichiers pour lancer celui du stand, j’avais vu passer un bizarre “zidane01.gcode”.
J’ai pensé que c’était un truc de foot, et comme c’était pas gros, je l’ai envoyé…
En fait, c’est une balle de fusil, drôle d’idée
La photo est prise à distance via la caméra dans le caisson, éclairage éteint, elle a activé ses diodes infra-rouge, ça marche plutôt pas mal !
Utile mais pas simple l’impression d’hier soir :
Tout le long d’un côté et tout en profondeur, j’ai dû m’y reprendre à trois fois pour le réglage du plateau : à certains endroits trop haut, filament écrasé, à d’autres trop bas, pas d’accroche…
Après deux faux départs, une séance de 5-6h sans anicroche, même si le caisson est monté à 38°…
Bon maintenant il va falloir le décoller, ça va être coton…
Finalement ça a été plus facile que prévu, une fois le radeau décollé tout autour, le reste est venu tout seul :
Si vous n’avez pas encore deviné, c’est un râtelier pour 12 câbles USB qui se fixe au bord d’un bureau :
Genre comme ça :
Vu la vitesse à laquelle se reproduisent ces petites bêtes, c’est pas trop
Aaaah ! Ce n’était donc pas un mini-rateau sans manche ou un peigne pour poney ! 
Bien tenté mais je n’ai pas de poney
Tiens, une question technique (et sans doute naïve) pour les plus expérimentés que moi :
Mettons que j’aie une toute petite pièce (comme par exemple le guide-câbles en angle de la photo n°45) et que je veuille en faire plusieurs exemplaires d’un coup…
J’ouvre le STL dans Cura, et je vois que je peux en rajouter et disposer plusieurs autres sur le plateau virtuel, par drag 'n drop :
Est-ce que, si je lance le slicing ensuite, le gcode contiendra toutes ces pièces ?
Merci d’avance pour vos lumières
Bon, vu que ma question n’inspire pas les foules, je meuble avec un topo sur les caméras du caisson
Jusqu’ici j’avais réutilisé la vieille PiCam de l’Ender3 qui était branchée sur une Raspberry peu courante, le Pi3A+ : compacte, suffisante pour faire tourner Octoprint, connecteur pour le câble PiCam, mais un seul port USB (connecté à l’imprimante).
J’étais pas vraiment fan des essais dans le caisson, autant pour la qualité d’image que pour l’angle de vue, c’était aussi moche qu’insuffisant. Donc j’ai remplacé la PiCam par… deux autres caméras
A gauche, une “Wansview” Q6, pilotable à distance via l’appli Android sur tablette ou smartphone, avec une amplitude de quasi 360° en horizontal, et 90° en vertical. Belle image, et une vision nocturne épatante (déjà vue plus haut).
Voilà son point de vue :
A droite, une webcam noname pas chère mais bien notée de chez LaZone. Là il a fallu changer la raspberry pour une vraie Pi3+, histoire d’avoir un port USB où la brancher, et un peu plus de patate pour gérer la HD. Voilà ce qu’elle voit :
Pas mal non plus, avec un bon éclairage. Elle a le mérite d’être visible sur PC, via la page Web d’Octoprint.
Mais en début d’impression, c’est un peu trop au ras du plateau pour bien voir.
Accrochée au rail du haut en vue plongeante, c’est bien aussi :
En fait, ce que j’aurais vraiment voulu obtenir, c’est un renvoi de l’affichage de la console, pour suivre la progression du print à distance.
Mais vu son inclinaison, les caractères minuscules et les reflets sur l’écran, je n’y suis jamais parvenu, c’était toujours flou…
Moi je voudrais ça :
Avec un portable tenu bien parallèle à l’écran et à la bonne hauteur, ça reste lisible… mais je ne vais quand même pas dédier un GSM pour filmer la console… quoi que…
Réponse tardive due à une semaine éprouvante. (J’ai huit article de retard au moins sur Minimachines !)
Oui. Le gCode contient les instructions pour imprimer tous les objets disposés sur le plateau. Les mêmes paramètres s’appliquent à tous. Si l’un a besoin de supports, ils en auront tous. Etc. Testé avec la Ender 3 pour un support de téléphone en plusieurs parties.
Étant donné que la surface occupée grandit mais que les objets sont indépendants, l’accroche est propre à chaque pièce et l’horizontalité et la planéité du plateau deviennent cruciale. Si une pièce décroche, elle a de bonnes chances d’emporter les autres avec.
Avec mon miroir poncé en guise de BuildTak, je n’ai pas de problème de planéité (c’est d’ailleurs un des buts) mais l’horizontalité reste pointue à obtenir.
Ou alors un vieux GSM dont l’écran est encore à peu près fonctionnel, mais trop cassé pour une utilisation en usage courant.
Sinon, pour le haut degré de reflet, ne serait-il pas dû à l’emploi des bandes de LED ? Peut-être que tendre immédiatement devant les LED un ruban de gaze ou de mousseline ôterait les reflets grâce à une lumière diffuse. La source la plus facile d’accès est un vieux collant le plus clair possible.
Évite quand même la paire de bas en soie blanche toute neuve de ta femme si tu n’es pas un habitué des sports extrêmes. 
Petit rappel : la fixation du ruban doit être faite soigneusement vu que ces tissus sont inflammables ! 
Oui. Le gCode contient les instructions pour imprimer tous les objets disposés sur le plateau.
Hello, rude semaine pour moi aussi, merci pour ton retour !
Entretemps j’avais lu un article (que je ne retrouve plus bien sûr ) qui m’a fait hésiter : il disait qu’il y avait un fort risque que la tête percute une autre pièce déjà coulée et en éjecte d’autres avec (dans le cas où elles sont toutes identiques je suppose…).
A priori il n’y a pas grand’ chose à gagner sur le temps d’impression global (à part les arrêts/redémarrages/leveling).
Comme toujours on trouve des avis contradictoires de toutes les époques et de toutes les versions de Cura…
Petit rappel : la fixation du ruban doit être faite soigneusement vu que ces tissus sont inflammables !
Bon, la patronne ne porte pas de bas et j’ai deux fils, donc j’ai pas de quoi tester le concept
De plus, le problème du floutage semble circonscrit aux webcam (en tout cas les deux neuves que j’ai testées).
En revanche la photo n°54 plus haut a été prise avec un antique mobile android de 2015, et elle est parfaitement nette.
La solution la plus simple serait donc sans doute de trouver un support qui tienne ledit mobile face à l’écran, avec une appli pour le streaming vers la tour de contrôle
Je ne l’ai fait qu’une fois, donc mon retour est limité. Il m’a semblé cependant que la tête aurait pu avoir des chemins plus direct sans l’obligation de contourner les autres pièces. Mais il est difficile d’être catégorique à la seule vue des déplacements. Je pense quand même qu’Ultimaker a dû penser à ça.
Par contre, les pièces montent ensemble. Donc le risque de percussion est semblable que les pièces soient identiques ou non. (Sauf bien sûr si l’une est déjà finie puisqu’elle devient plus petite que les autres.)
Et non, tu ne gagnes pas beaucoup de temps. Le contour et remplissage de chaque pièce se fait successivement de toute façon. Tu gagnes les temps de préchauffe et refroidissement si comme moi tu attends un peu pour décoller plus aisément les pièces.
Par contre s’il se produit un seul décollement, la tête emporte tout avec elle et tu perds toutes tes pièces contrairement à des impressions successives. C’est plus ça qui me retient.
Oui, ça confirme bien ce que disait l’article, merci.
Je pense que ça doit plus convenir à une flopée de toutes petites pièces pas très hautes produites en série : le risque de collision est moindre et le temps gagné en préchauffage potentiellement conséquent.